Une semaine plus tard, Lusaka, Palace , 19h30

« Cette fille est agaçante. Une semaine à son service et cette petite niaise a réveillé mes envies de meurtre. Et je ne dis pas seulement ça parce qu’elle passe presque toute la journée avec mon fiancé. Elle n’est pas méchante, ni méprisante, comme certains clients. Non, elle est pire que ça, elle est condescendante. Tout lui est dû, et c’est même déconcertant de voir la façon dont elle donne ses ordres, une aisance folle, aucune gêne. Mais pourquoi il y en aurait-il puisque tout lui est dû ? Une princesse, une vraie pseudo princesse, bien trop loin de son royaume et pas assez généreuse sur les pourboires pour avoir ma sympathie. Il parait qu’elle a grandit avec une horde d’elfes de maison. Ça peut expliquer le côté princesse. Mais tout de même nous ne sommes pas de vulgaires créatures magiques nous. Et puis elle pose de ces questions. Qu’est-ce que ça peut lui faire si ma grand-mère n’utilisait pas de baguette ? Et cette manie de vouloir qu’on lui raconte des légendes. Elle n’a qu’à acheter un bouquin. On ne lui apprend pas ça dans sa super école ?

Et puis la pauvre fille est d’un banal, et prévisible avec ça. Tous les matins elle mange la même chose, puis elle visite. Non vraiment cette Calliope Kark ne doit pas avoir une vie très trépidante. Pour couronner le tout, elle passe son après-midi au bord de la piscine. Mais le plus pathétique de l’histoire c’est de voir les pauvres mâles se décoller la tête pour la mater. Je vois même pas ce qu’il y a à mater, elle est toute maigrichonne.

- Tu serais pas un peu jalouse ?
- Jalouse de quoi de sa poitrine ridicule ? de sa peau blanchâtre ? Très peu pour moi.
- Et c’est qui cette fille pour avoir eu le droit à un tel traitement de faveur ?
- La fille d’un ponte qui vient de là-haut. En Angleterre. Un candidat aux élections je crois. Enfin c’est toujours pareil à chaque fois qu’un sang-pur ou un bourge britannique vient ici, il faut se prosterner devant eux. La hiérarchie est encore pire.
- Parles-moins fort. Je crois que le client là-bas t’a entendu.
- Pfff. De toute façon Miss Kark nous quitte bientôt.
- Ah oui ? Elle rentre chez elle ?
- Non, elle part se noyer dans la masse touristique.
- Safari ?
- Oui Safari. Au moins j’aurais la paix pendant quelques jours.
- Et la certitude que ton copain ne se décrochera pas la tête en la matant en maillot de bain.
- Fiancé. Pas copain, fiancé.
- Oh qu’est-ce que ça peut fait deux jours de plus avec Miss Kark, et il quittait tout pour l’Angleterre…
- Dois-je vous rappeler que vous êtes censée apporter des rafraichissements aux clients ? Et pas bavarder comme deux grues ? »

Mosi-O- Tunya, reserve naturelle , 15h

Il bouge trop. Même avec un appareil photo magique, le cliché ne donnera rien s’il continue de s’agiter dans tous les sens. Lancer un Petrifus Totalus ? Trop radical, même pour elle. Et puis n’est-elle pas une ancienne Poufsouffle ? La patience est une vertu des jaunes et noirs, donc par extension une de ses qualités. Mais les qualités sont comme les sentiments, elles s’effritent avec le temps. Un click. Un flash et Ragnork cornu est loin. Caché dans le sol, mais présent à jamais sur la pellicule de la jeune Kark. Calliope esquisse un sourire stoppé en plein vol, transformé en une grimace. La sorcière a soudain l’impression de tomber en arrière de sombrer dans un abysse sans fond. Les ténèbres âpres l’encerclent créant chez la Kark une peur sourde. Elle ne comprend pas . Elle crierait, si elle le pouvait, mais impossible de desserrer ses lèvres. La panique l’assaille alors. Tout ça est absurde, et mortifiant, car pleinement consciente de tout, elle se sent otage de son propre corps. Puis plus rien.



Ses yeux s’ouvrent comme des soucoupes. Sa tête lui fait mal. Son dos aussi. Mais ces considérations physiques passent rapidement au second plan. Elle a besoin de savoir ce qu’elle fait allonger sur le sol. Et où est-elle ? Et pourquoi les étoiles se sont invitées dans le ciel, alors qu’un battement de cil avant, c’était le soleil, seul et orgueilleux qui trônait fièrement dans la voute céleste. Elle veut se relever. Elle veut voir. Et surtout elle veut comprendre. Mais les considérations physiques précédemment ignorée s’impose à elle. Bouger lui arrache un cri de douleur. Et Calliope comprend que ce qui coule le long de sa nuque ne sont ni des larmes ni des eaux. Douloureusement elle passe sa main sur sa nuque pour remonter le sillon qui la parcoure. Ses doigts fin lui reviennent maculés d’écarlates annonciateurs d’une vilaine plaie derrière le crane. L’angoisse arrive à son paroxysme. Il faut qu’elle se relève. Un petit cri s’échappe de ses lèvres, alors qu’elle se redresse. Au moins elle peut entrouvrir la bouche, c’est déjà mieux. Assise, elle tombe face à trois hommes. La peau brune, des vêtements hétéroclites, mélangés curieusement avec un manque de cohérence. Trois inconnus. Aucun d’eux ne ressemblent de près ou de loin aux accompagnateurs fournis par Erikson. Aucun. Tout est incompréhensible, et son mal de crâne ne l’aide pas à insuffler un peu de cohérence dans les hypothèses saugrenues qui peuplent son esprit. Ils sont assemblés autour d’un feu. Un des hommes, aux bras recouverts de tatouage la pointe du doigt, et dit quelques mots à ses comparses. Naturellement, elle ne comprend pas. Ce n’est ni de l’anglais, ni du finlandais, et encore moins du Fourchelang.

Elle n’est pas attachée, c’est déjà ça. L’espace d’un instant, Calliope peut espérer ne pas être une vulgaire captive. La désillusion viendra bien vite. Elle n’est plus le centre d’intérêt d’un des hommes, l’un prête une attention particulière aux pierres encerclant la Kark. Un autre joue nerveusement avec deux baguettes magiques. D’ailleurs où est sa propre baguette ? Plus dans sa poche. Peut-être dans son sac ? Ou peut-être dans les mains d’un des hommes. Et son sac où est-il lui aussi ? La sacoche en cuir est plus rapide à repérer le troisième homme, l’a ouvert et semble faire l’inventaire de son contenu en le rependant en partie sur le sol : tente, boussole, gourde, vivre, vêtement. Curieux. Pas vraiment une attitude de sauveteur galant qu’inspecter d’un regard torve vos sous-vêtement de rechange. L’angoisse revient, plus forte, plus compacte. Maintenant qu’elle a plus d’élément, les peurs volatiles prennent corps pour former une boule bloquant sa respiration. La confirmation vient quand elle se relève, puis tente de faire quelques pas. Plutôt que de fouler le sol plus loin ses pieds se heurtent à un mur invisible. Elle retente sa chance, en vain. C’est maintenant une certitude, les trois hommes l’ont mis en cage. S’intimant le plus grand calme elle s’assoit en tailleur pour réfléchir à un plan de secours. Mais tout ce qui lui vient à l’esprit ce sont les recommandations du guide lors du Safari. « Ne vous éloignez pas trop du groupe, il y a de nombreux braconniers qui trainent dans la réserve et ils ne chassent pas que les animaux. Les touristes fortunés sont également leurs victimes préférés, ils en tirent un meilleur prix avec les rançons. ». Elle soupire. Prisonnière de ce cercle de cailloux, il ne lui reste que des remord. Elle n’aurait pas dû s’éloigner, même pour une stupide photo. Surtout pour une stupide photo. Et son appareil ses ravisseurs l’avait-il au moins emporté avec eux ? Quelle idée de penser à ça dans une telle situation. Calliope s’en fiche pas plus mal de ce stupide appareil.

Otage. Elle était otage. C’était grotesque. Voir ironique. Toute l’année elle était restée dans un pays en pleine guerre civile, dans un nid de vipères où terroristes et traitres cherchaient à nuire à son père, et elle fille de Mervyn Kark était une proie pour faire pression sur lui, et rien ne lui était arrivée, pas une seule tentative de kidnapping. Et c’était à des milliers de kilomètres dans une région où on était loin de prêter grande attention à toutes ces considérations politiques, quelle se fait enlever par des braconniers qui n’avait certainement aucune idée de l’identité de la pauvre brebis égarée qu’ils avaient ramené avec eux.

Ces trois hommes ne doivent même pas savoir qui elle est. Ses doutes se confirmèrent bien vite lorsqu’un de ses ravisseurs lui demande son nom dans un anglais tout à fait approximatif. Calliope préfère observer un silence dédaigneux. Elle a vu pire comme situation, et le fait d’être otage ne la panique plus tant que ça. Aucun des trois hommes n’a plaqué contre son cou d’horribles crocs, Aucun d’eux ne lui a fait boire du sang. Mieux encore les trois hommes défendent un idéal purement pécuniaire, ce qu’ils cherchent c’était avant tout un bon gros tas de gallions, et seule la survie de leurs otage leur permettrait de nager dans une opulence sale mais non moins agréable pour ces êtres peu scrupuleux. Non maintenant qu’elle a toutes les cartes en mains, la peur se dissipe, l’angoisse n’est pas constructive. Et puis, même si elle a beau être au milieu de nulle part notre Kark espère encore être secouru. Quand bien même les secours ne viendraient pas, il y aurait bien une occasion à saisir plus tard. Il lui suffirait de trouver la faille du piège dans lequel ils la tiennent captive, et elle pourrait récupérer sa baguette, et filer à l’anglaise.
Ce sont les pierres qui l’encerclent qui maintiennent la cage magique, tout dû moins c’est ce qu’en déduit Calliope, après voir tenté décrypter les runes les recouvrant et observer la façon dont les des kidnappeurs les regardent inlassablement. Visiblement, il n’a pas très confiance on son piège. Trouver une faille ne serait peut-être pas si difficile. Mais pour l’heure il faut s’armer de patience et méditer sagement toute tentative d’évasion. Elle n’est certes pas une stratège Serdaigle, ni une perfide Serpentard, mais elle a au moins le bon goût de ne pas être pourvue de l’impétuosité Gryffondor.

Doucement elle déboutonne son chemisier, pour ne se retrouver qu’en débardeur. Elle regrette presque aussitôt de ne pas avoir gardé près d’elle son pull ou sa cape. Le soleil éteint, il s’était répendu dans la plaine sèche un froid mordant, que la fatigue et la perte de sang avait rendu dévorant. Comme prévu le col de sa chemise est trempé d’écarlate, et l’usage qu’elle va en faire ne fera que le souiller davantage. Mais tant pis, Calliope se fiche bien de ces considérations purement matérielles, et se contente de le transformer en bandage de fortune, en casant le chemisier derrière sa tête.

Les trois braconniers eux discutent. Encore. L’un d’entre eux a élevé la voix, tandis que les autres s’agaçent sérieusement, plusieurs fois la Kark est montrée du doigt, et à chaque fois la jeune femme fit mine de ne pas s’en offusquer, et alors qu’à chaque fois son cœur manqua un battement. Sans être terrorisée, ni dépourvue d’espoir, l’ancienne Poufsouffle n’oublie pas qu’elle est loin de connaitre ces hommes, ni les limites de leurs patiences. Elle en a fait des braconniers parce que c’était l’hypothèse la plus logique, mais rien n’exclut la cruelle possibilité qu’ils pussent être pires. Ils finissent par se calmer, et l’un d’eux lui redemande son nom. Cette fois-ci, Calliope répond. Par un mensonge naturellement. C’était venu instinctivement. Elle ne veut pas qu’ils sachent qu’elle est une Kark. Sans doute par peur de basculer d’otage à prisonnier politique. La nuance pour elle serait fine, mais pour son père les enjeux seraient tout autres.

Les heures défilèrent, les trois hommes se sont relayés, montant la garde chacun leurs tours. Calliope a somnolé, se surprenant parfois à dormir quelques minutes avant de se forcer à rouvrir les yeux. Le sommeil est l’ennemi des occasions à saisir. Si elle doit s’enfuir autant le faire lorsqu’un seul des hommes seraient éveillés. Pour fuir Morphée, elle détaille inlassablement le décor qui l’entoure, repérant sur le camp de fortune ce qui lui appartient, ou encore ce qui pourrait lui être utile en cas d’évasion pour semer ses ravisseurs.

L’aurore vient tirant de leurs couches les deux hommes endormis. L’astre gorge de lumière la pleine révélant de ses rayons toute la beauté du paysage. C’est beau. Pourtant ni les braconniers, ni Calliope ni prête attention. Trop de tensions, et pas assez d’attention. Qu’est-ce qu’ils allaient faire maintenant ? Sans doute marcher. Ils ne peuvent décemment pas rester dans cette vallée désolée au milieu de nulle part. Mais ni Calliope, ni un des hommes n’eurent le temps de faire un plan pour le reste de la journée, car à peine l’astre solaire a-t-il entamé sa course, que tout se précipite encore une fois.

Notre jeune sorcière en dix-huit ans d’existences avait déjà eu la chance de voir des choses tout à fait exceptionnelles, mais jamais au grand jamais, elle n’avait vu un spectacle aussi incongru. La Poufsouffle croit d’abord que la fatigue la fait délirer, ou alors que sa blessure à la tête est plus grave qu’elle ne le pense. Car rien, rien en cet instant, aucune explication rationnelle ne peut donner un peu de sens à ce qui se passe devant elle. Un lion, peut-être même deux, un guépard ou un léopard. Comment faire la différence ? Une gazelle, peut-être une hyène, et d’autres créatures sur lesquels la Kark serait incapable de poser un nom. Tous ils sont arrivés, comme surgit de nulle part et ont attaqués. Paralysé un instant par la peur, Calliope saisit pourtant sa chance lorsqu’une des bêtes piétina une des pierres aux runes étranges, et la libéra. Ses premiers pas furent hésitants, trop hésitant, elle trébuche. Mieux vaut ramper, au moins à terre elle ne risque pas de se prendre un des sorts perdus de ses ravisseur qui tant bien mal tente de repousser cette horde d’animaux. Rapidement elle repère sa baguette, mais un roulé boulé sur le côté l’en éloigne, c’était soit ça, soit finir piétiné par une bête. Lorsqu’enfin ses doigts se resserrent sur le morceau de bois, elle se relève maladroitement. La jeune femme titube, puis se force à accélérer le pas, à courir, fuir loin à défaut de pouvoir transplaner dans son état. Elle ne veut pas être otage, ni transformé en steak, alors elle court. Derrière la Kark entend le souffle bruyant d’une créature, quelque chose s’est lancée à sa poursuite. La sorcière n’ose même pas regarder en arrière, elle ne veut pas savoir, juste mettre le plus d’espace possible entre cette bête et elle. Puis vient le caillou de trop, celui qui la fait trébucher, la pauvre Poufsouffle s’étale de tout son long sur le sol. Sa baguette lui a échappée, tandis que chaque seconde restée inerte à terre la condamne à une mort aussi certaine que proche. Calliope a tout juste le temps de se retourner sur le dos, que l’animal est déjà sur elle, la surplombant totalement. Dans la lumière naissante du jour, elle discerne mal les traits de la bête. Ses deux pattes disposés au-dessus de ses frêles épaules semblent monstrueusement grosses, et ses longues griffent n’inspirent à l’adolescente que des scenarii sanglants. Paralysée, Calliope se contente de fixer l’animal pour enfin découvrir l’imposante crinière de la bête. Un lion. Elle ne peut plus bouger, le félin la bloque et surtout elle n’en a pas la force, au bord de l’évanouissement, elle savoure tout de même le grotesque d’une telle situation. Elle, Calliope Kark, fourchelang, modèle de la jeune sang-pure, fille du futur ministre de la magie va mourir dévorer par un lion. Grotesque, ce scenario est grotesque, elle ne peut pas être la petite fille du célèbre homme politique morte précocement dans un accident de safari. Elle ne veut pas. Alors que la Kark sent ses dernières forces, elle croit voir son agresseur esquisser un sourire. Visiblement lui aussi trouve la situation grotesque.

ϟ Liberate me ex inferis ϟ

« Sauvez-moi de l'enfer. »

GROUPE IV

Baël Rosier , Calliope A. Kark ,Carmella D. Higgs, Hudson K. Higgs, Lilith B. Rosier, Nathaniel Hansen, Tyzonn V. Higgs.

ϟ Pour cet event nous changeons un peu notre façon de procéder pour certains groupes. Afin de varier un peu nous laissons un peu de côté la dynamique de duels exploitée lors des deux derniers event. On ne l’abandonne pas complètement, on change juste un peu. Cette fois-ci vos ennemis sont des PNJ, des PNJ qui prendront différentes formes selon votre avancée dans le lieu qui vous a été attribuée.
ϟ L’event dure trois semaines IRL.
ϟ Un tour ne dure que 48h . A partir du moment où le PNJ a posté vous avez 48h pour répondre, sans quoi votre tour sera passé.
ϟ Au bout de 3 tours manqués vous êtes exclus de l’event. Votre personnage sera alors blessé au point d’en être inconscient pendant toute la durée des combats. Etre exclu entraine également une perte de points pour votre faction. Chaque abandon fait perdre 3 points à votre faction.
ϟ Vous serez prévenus par mp à chaque fois que ça sera à votre tour de RP.
ϟ Des sujets de flood ont été créés pour vos groupes, afin que vous puissiez discuter des scenarii, tactiques ou autre que vous souhaitez développer durant cet event.
ϟ Si vous avez des questions, il faut les poser dans [url=lien vers SAV [/url] Pas dans le Flood, ni sur la CB, ni par MP ! Uniquement dans le SAV !

ϟ Vous n’avez droit qu’à 1 sort offensif et un 1 sort défensif par rp.
ϟ Pour chaque sort offensif ou défensif lancé, vous devez vous servir du dé. Mais pas forcément pour dire si le sort fonctionne ou non. Vous êtes libre d’adapter ces lancers comme bon vous semble dans la mesure où ça ne vire pas au grosbillisme. Le dé ne doit pas être une excuse pour l’anti-rp.
ϟ Pour ce qui est des PNJ qui vont être placé sur votre chemin, le nombre de lancers de dé va varier selon leurs forces et leurs talents. Le nombre de lancers nécessaires vous sera indiqué à chaque arrivée de nouveaux PNJ.
ϟ En ce qui concerne les sorts de soin le lancer de dé est également obligatoire, et déterminera la réussite du sort ou non. Cette règle ne s’applique pas aux médicomages titulaires tels que Hudson Higgs, Nathaniel Hansen, ou Elie Bright.
ϟ Quant aux sorts accessoires, tels que « Accio », « Lumos », ou encore « Nox », ils ne sont pas réglementés. Vous pouvez en utiliser autant que vous voulez, et sans avoir à lancer le dé.
ϟ Attention, toute tentative de grosbillisme même cachée via un lancer de dé heureux, sera sanctionnée in rp et hors rp.

Informations sur les lieux

ϟ Pour vous l’action va se dérouler essentiellement dans le lac, ou plutôt dans les galeries qui se trouvent dedans. Ces tunnels sont des ajouts de notre part, donc inutile de chercher des informations dessus sur internet ou dans les encyclopédies consacrées à l’univers HP. Ces galeries auraient été creusées par les êtres des eaux qui ont colonisé le lac bien avant que l’académie soit installée à côté de ses rives.
ϟ Des pans de cartes vous seront fournis progressivement pour que vous visualisez bien les lieux, et les galeries.
ϟ Deux d’entre elles donnent sur l’extérieur et c’est par ces couloirs que les ombres vont s’infiltrer pour faciliter l’extraction des otages.
ϟ Votre missions sécuriser la voie, pour qu’une fois les élèves arrivés dans le lac tout se passe sans encombre.
ϟ Toutes les informations trouvées sur ces galeries ont été découvertes par Marion Vaisey dans la bibliothèque mythique de Serdaigle, et complétée par Scarlett Fuller. Cela dit on sait peu de chose dessus, tout juste l’emplacement des entrées. Votre personnage peut donc difficilement être un expert de la faune et la flore se trouvant dans ces tunnels.
ϟ Des deux tunnels, seul un débouche sur le centre du lac, l’autre débouche sur un cul-de-sac. Le hic c’est qu’on ne sait pas lequel des deux débouche sur la place centrale du lac dans laquelle vont se retrouver les élèves. Vous serez fixés plus tard.

Votre équipement

ϟ Dans le lac il fait froid, même en été, alors en plein mois de février autant dire que l’eau est glacée. Mais soyez rassuré grâce à Carmella, et son atelier de couturier des combinaisons de plongée en murlatex ont été conçue pour vous pour l’occasion. Elles sont extrêmement résistantes, confortable, et surtout retiennent la chaleur. Vous pouvez par ailleurs caller votre baguette dans la poche spéciale qui a été ajoutée sur votre cuisse.
ϟ Car le lac est un milieu hostile un couteau que devrez attaché à votre cuisse vous a également été remis. En cas de perte de baguette cette arme pourrait bien vous sauver la vie.
ϟ Enfin, des petits gadgets sortis tout droit du département des mystères vous permettront de voir dans les eaux sombres de du lac. Il s’agit de bracelet lumineux qui vous permettrons d’éclairer votre route lors de vos brasses. Ils éclairent sans aveugler. Il y a une couleur différente pour chaque personne. Ça vous permet de voir où se trouve vos camarades de mission.

Déroulement de l’event

ϟ L’event débute alors que vous vous trouvez dans le petit bois à proximité du gobelin estropié [ voir sur la carte l’emplacement ]. Il y a une bouche d’entrée à moitié dissimulée par les plantes. Elle ressemble à ça . Vous devez passer dedans, une fois que vous serez enfoncé dedans vous sentirez presque immédiatement la morsure froide de l’eau. Vous serez alors dans la fosse, mais ça c’est une autre histoire.
ϟ Vous devez lancer un sortilège de têtenbulle qui durera pendant tout l’event avant de vous jeter dans la bouche d’entrée. Grâce à ce maléfice vous pourrez continuer de parler entre vous.
ϟ Nous sommes un samedi de février, et bien qu’il ne soit que 19h30, la nuit est déjà tombée depuis longtemps.
ϟ Comme bien souvent dans nos events le premier tour est purement introductif. Les festivités commencent plus tard.

ϟ Liberate me ex inferis ϟ

« Sauvez-moi de l'enfer. »

GROUPE III

Caleb D. Pritchard, Elie Brights, Hayley Travers, Lawrence Rookwood & Miranda Carrow

ϟ Pour cet event nous changeons un peu notre façon de procéder pour certains groupes. Afin de varier un peu nous laissons un peu de côté la dynamique de duels exploitée lors des deux derniers event. On ne l’abandonne pas complètement, on change juste un peu. Cette fois-ci vos ennemis sont des PNJ, des PNJ qui prendront différentes formes selon votre avancée dans le lieu qui vous a été attribuée.
ϟ L’event dure trois semaines IRL.
ϟ Un tour ne dure que 48h . A partir du moment où le PNJ a posté vous avez 48h pour répondre, sans quoi votre tour sera passé.
ϟ Au bout de 3 tours manqués vous êtes exclus de l’event. Votre personnage sera alors blessé au point d’en être inconscient pendant toute la durée des combats. Etre exclu entraine également une perte de points pour votre faction. Chaque abandon fait perdre 3 points à votre faction.
ϟ Vous serez prévenus par mp à chaque fois que ça sera à votre tour de RP.
ϟ Des sujets de flood ont été créés pour vos groupes, afin que vous puissiez discuter des scenarii, tactiques ou autre que vous souhaitez développer durant cet event.
ϟ Si vous avez des questions, il faut les poser dans [url=lien vers SAV [/url] Pas dans le Flood, ni sur la CB, ni par MP ! Uniquement dans le SAV !

ϟ Vous n’avez droit qu’à 1 sort offensif et un 1 sort défensif par rp.
ϟ Pour chaque sort offensif ou défensif lancé, vous devez vous servir du dé. Mais pas forcément pour dire si le sort fonctionne ou non. Vous êtes libre d’adapter ces lancers comme bon vous semble dans la mesure où ça ne vire pas au grosbillisme. Le dé ne doit pas être une excuse pour l’anti-rp.
ϟ Pour ce qui est des PNJ qui vont être placé sur votre chemin, le nombre de lancers de dé va varier selon leurs forces et leurs talents. Le nombre de lancers nécessaires vous sera indiqué à chaque arrivée de nouveaux PNJ.
ϟ En ce qui concerne les sorts de soin le lancer de dé est également obligatoire, et déterminera la réussite du sort ou non. Cette règle ne s’applique pas aux médicomages titulaires tels que Hudson Higgs, Nathaniel Hansen, ou Elie Bright.
ϟ Quant aux sorts accessoires, tels que « Accio », « Lumos », ou encore « Nox », ils ne sont pas réglementés. Vous pouvez en utiliser autant que vous voulez, et sans avoir à lancer le dé.
ϟ Attention, toute tentative de grosbillisme même cachée via un lancer de dé heureux, sera sanctionnée in rp et hors rp.

Informations sur les lieux

ϟ Pour vous l’action va se dérouler essentiellement dans le lac, ou plutôt dans les galeries qui se trouvent dedans. Ces tunnels sont des ajouts de notre part, donc inutile de chercher des informations dessus sur internet ou dans les encyclopédies consacrées à l’univers HP. Ces galeries auraient été creusées par les êtres des eaux qui ont colonisé le lac bien avant que l’académie soit installée à côté de ses rives.
ϟ Des pans de cartes vous seront fournis progressivement pour que vous visualisez bien les lieux, et les galeries.
ϟ Deux d’entre elles donnent sur l’extérieur et c’est par ces couloirs que les ombres vont s’infiltrer pour faciliter l’extraction des otages.
ϟ Votre missions sécuriser la voie, pour qu’une fois les élèves arrivés dans le lac tout se passe sans encombre.
ϟ Toutes les informations trouvées sur ces galeries ont été découvertes par Marion Vaisey dans la bibliothèque mythique de Serdaigle, et complétée par Scarlett Fuller. Cela dit on sait peu de chose dessus, tout juste l’emplacement des entrées. Votre personnage peut donc difficilement être un expert de la faune et la flore se trouvant dans ces tunnels.
ϟ Des deux tunnels, seul un débouche sur le centre du lac, l’autre débouche sur un cul-de-sac. Le hic c’est qu’on ne sait pas lequel des deux débouche sur la place centrale du lac dans laquelle vont se retrouver les élèves. Vous serez fixés plus tard.

Votre équipement

ϟ Dans le lac il fait froid, même en été, alors en plein mois de février autant dire que l’eau est glacée. Mais soyez rassuré grâce à Carmella, et son atelier de couturier des combinaisons de plongée en murlatex ont été conçue pour vous pour l’occasion. Elles sont extrêmement résistantes, confortable, et surtout retiennent la chaleur. Vous pouvez par ailleurs caller votre baguette dans la poche spéciale qui a été ajoutée sur votre cuisse.
ϟ Car le lac est un milieu hostile un couteau que devrez attaché à votre cuisse vous a également été remis. En cas de perte de baguette cette arme pourrait bien vous sauver la vie.
ϟ Enfin, des petits gadgets sortis tout droit du département des mystères vous permettront de voir dans les eaux sombres de du lac. Il s’agit de bracelet lumineux qui vous permettrons d’éclairer votre route lors de vos brasses. Ils éclairent sans aveugler. Il y a une couleur différente pour chaque personne. Ça vous permet de voir où se trouve vos camarades de mission.

Déroulement de l’event

ϟ L’event débute alors que vous vous trouvez dans le petit bois à proximité de la cabane hurlante [ voir sur la carte l’emplacement ]. Il y a une bouche d’entrée à moitié dissimulée par les plantes. Elle ressemble à ça . Vous devez passer dedans, une fois que vous serez enfoncé dedans vous sentirez presque immédiatement la morsure froide de l’eau. Vous serez alors dans la fosse, mais ça c’est une autre histoire.
ϟ Vous devez lancer un sortilège de têtenbulle qui durera pendant tout l’event avant de vous jeter dans la bouche d’entrée. Grâce à ce maléfice vous pourrez continuer de parler entre vous.
ϟ Nous sommes un samedi de février, et bien qu’il ne soit que 19h30, la nuit est déjà tombée depuis longtemps.
ϟ Comme bien souvent dans nos events le premier tour est purement introductif. Les festivités commencent plus tard.